Je propriéte, tu propriétes, nous propriétons
Suite à une discussion sur le groupe interne du podcast Goood Morning Web à propos de la création frauduleuse de NFT, je me suis questionné sur l’origine de la propriété.
Quand et qui est la première personne à s’être dit : « Ce gourdin est le mien, et pas celui de la communauté ».
Et plus loin, quand et qui est la première personne à s’être dit : « Je vais vendre ce bout de terrain ».
La nature lui a octroyé, mais il s’est dit « Tiens je vais la vendre ».
Un peu comme un artisan taxi qui s’est vu octroyer gratuitement une licence et qui se dit « tient je vais la vendre », et quand les licences ont perdu de la valeur avec l’arrivée des VTC à se dire « si je demandais des dédommagements à l’état… ». Pardon, je m’égare…
Pour la vraie réponse, je ne sais pas si on trouvera la réponse.
Par contre, au vu de la (relative) récence de l’événement, je pense que le primo-partage contemporain des terres américaines doit être documenté.
Durant cette recherche, je suis tombé sur Wikipedia et sur un article sur le droit de propriété.
Ça commence par
Il s’agit d’un droit naturel garanti par la Constitution.
À mes yeux, il n’y a pourtant rien qui me semble moins naturel que la propriété.
À côté de la propriété, même le Fanta paraît plus naturel.
À l’heure où on se dit que d’ici à quelques années, à l’aide de l’intelligence artificielle, on va pouvoir discuter avec les animaux (désolé je n’ai pas retrouvé l’article), je me dis que même si on se parle on n’arrivera néanmoins jamais à communiquer.