Alban JAMESSE

Alban JAMESSE
Responsable E-commerce

#ecommerce, #internet &Co

   

Tombé dans le commerce tout petit, puis dans l'internet un peu plus grand;
Je fais du e-commerce activement depuis… trop longtemps.

Écoutez moi tous les matins sur Goood Morning Web

Contactez moi  
+33(0) 687.007.697


Votre message a bien été envoyé.

Votre message N'A PAS été envoyé.
Un problème est survenu. N'hesitez pas à me contacter par un autre moyen.

Je propriéte, tu propriétes, nous propriétons

Je propriéte, tu propriétes, nous propriétons

Suite à une discussion sur le groupe interne du podcast Goood Morning Web à propos de la création frauduleuse de NFT, je me suis questionné sur l’origine de la propriété.

Quand et qui est la première personne à s’être dit : « Ce gourdin est le mien, et pas celui de la communauté ».

Et plus loin, quand et qui est la première personne à s’être dit : « Je vais vendre ce bout de terrain ».
La nature lui a octroyé, mais il s’est dit « Tiens je vais la vendre ».

Un peu comme un artisan taxi qui s’est vu octroyer gratuitement une licence et qui se dit « tient je vais la vendre », et quand les licences ont perdu de la valeur avec l’arrivée des VTC à se dire « si je demandais des dédommagements à l’état… ». Pardon, je m’égare…

Pour la vraie réponse, je ne sais pas si on trouvera la réponse.

Par contre, au vu de la (relative) récence de l’événement, je pense que le primo-partage contemporain des terres américaines doit être documenté.

Durant cette recherche, je suis tombé sur Wikipedia et sur un article sur le droit de propriété.

Ça commence par

Il s’agit d’un droit naturel garanti par la Constitution.

À mes yeux, il n’y a pourtant rien qui me semble moins naturel que la propriété.

À côté de la propriété, même le Fanta paraît plus naturel.

À l’heure où on se dit que d’ici à quelques années, à l’aide de l’intelligence artificielle, on va pouvoir discuter avec les animaux (désolé je n’ai pas retrouvé l’article), je me dis que même si on se parle on n’arrivera néanmoins jamais à communiquer.

Sans pitié

Sans pitié

Toutes les personnes qui mettent leur souris ou leurs doigts sur internet devraient connaitre ces deux règles.

Si c’est gratuit, c’est que c’est toi le produit.

 

Si c’est uploadé, ça ne disparaîtra jamais.

 

Surmenage et burn-out

Surmenage et burn-out

Je vous fais mon instant Michel Serres : le Sens de l’info.

Il y a quelques jours je me faisais la réflexion : Avant on disait « être surmené« , aujourd’hui on dit « faire un burn-out« .

Ce basculement du verbe auxiliaire « être » au verbe « faire » a t’il un sens plus profond ?

Être, sous-entend, un état indépendant de notre volonté, un état de fait.
« Je suis un homme », « je suis beau », « je suis intéressé » -à la différence de « je m’intéresse » qui indique qu’on travail à cet intérêt-, …
Dans ce cadre là :

Je suis victime de mon surmenage.

Faire, quand à lui est un verbe d’action, qui impose une intention.
« Je fais mon travail », « je fais du vélo », …
L’acteur change, le cadre devient :

Je fais, je participe, je crée mon burn-out

 

Et vous qu’en pensez-vous ?
Avant, étions nous victime et aujourd’hui acteur de notre surmenage / burn-out ?