J’ai envie de vos partager les outils que j’utilise tous les jours dans mon activité e-commerce.
On commence par un outils que j’utilise toute la journée lorsque que j’écris des emails.
Lorsqu’on écrit des emails à des clients à longueur de journée, on utilise souvent les mêmes formules de politesse ou d’explication.
Pour les emails tout prêt il existe aussi une fonctionnalité dans le Labos de Gmail qui permet d’avoir des emails standardisés.
Il existe un logiciel qui s’appelle Flashpaste qui vous permet de faire des collections de texte que vous utilisez régulièrement, et que vous pouvez coller à l’aide d’un raccourci clavier.
Vous faite votre raccourci clavier, une petite fenêtre s’ouvre, vous choisissez votre formule enregistrée à l’aide des touches du clavier, vous validez par Entrée, et c’est bon c’est collé, vous poursuivez votre rédaction, sans avoir eu besoin de la souris.
C’est simple, ça fait gagner énormément de temps, c’est indispensable !
Il existe aussi une version Flashpaste Lite qui est gratuite, mais limité (je n’ai jamais été impacté par la limitation) et qu’on ne trouve plus sur internet.
Vous l’avez donc là.
Je suis abonné depuis des années à ecommerce magazine (et Markeing Direct et Marketing magazine avant ça), mais cette année c’est fini, je ne me réabonnerais plus.
Je ne me réabonnerais plus pour plusieurs raisons :
Sur les deux dernières années, j’ai rencontré plusieurs problèmes de livraison.
À deux reprise au moins je n’ai pas reçu mon numéro.
Et comme on ne connait pas bien la date d’expédition, on ne sait pas trop quand se plaindre.
Il faut leur laisser que quand on les contacte, les personnes sont aimables et le traitement rapide.
Parlons plus précieusement de la date d’expédition.
À plusieurs reprises ces dernières années, j’ai pu me procurer sur des salons ou événements (offerts, l’abonné paye lui), comme le Salon du ecommerce, le dernier numéro de ecommerce magazine des semaines avant de le recevoir à domicile.
C’est un problème global de la presse, aujourd’hui on est tous sur Twitter, les infos on les a en direct, problème d’autant plus épineux pour un magazine bimestriel.
Attendre la parution papier pour savoir qu’Amazon va proposer le paiement en 4 fois en collaboration avec Cofidis, c’est risquer de se faire spoiler l’affaire une paire de fois, voir même d’avoir le temps de l’oublier, avant de recevoir le magazine.
- La présentation de l’info
J’attends d’un magazine professionnel des articles concis pour une compréhension la plus rapide possible (ce que je retrouvais dans Marketing Direct à l’époque).
Mais j’ai l’impression, qu’aujourd’hui ils tentent de vendre du papier.
Il reste cependant pas mal de petit articles, mais remplis de buzzword. Une fois l’article lu, vous l’avez déjà oublié.
Je l’avoue dans les derniers numéros, je n’ai lu et retenu que les brèves : Des infos en une phrase.
Sur leur site internet c’est pareil.
Des articles à rallonges, où l’on pèse le pour (apprendre/découvrir quelques chose) et le contre (passer 10 minutes) avant de se lancer dans la lecture.
Exemple l’article « Le packaging des produits frais, grand oublié de l’expérience client » 754 mots résumable en 28.
En ecommerce, le packaging est une pièce maîtresse de l’expérience client.
Dans le domaine des produits frais c’est un point à travailler pour faire la différence.
(28 mots, 138 caractères, ça aurait tenu sur l’ancienne version de Twitter. Et j’aurais pu faire encore plus court.)
Je n’ai pas vendu de papier, mais j’ai fait gagné du temps à des milliers de personnes qui bossent dans le ecommerce.
Si je paye c’est pour gagner du temps.
Melvyn me dit que les articles à rallonge c’est pour le référencement.
Ici on parle d’infos, et je trouve qu’il n’y a rien de plus énervant quand on fait une recherche sur Google, que de tomber sur des articles d’il y a 7 ou 8 ans.
Si c’est la vraie raison de la taille de ces articles c’est encore moins recevable.
Twitter c’est un peu chez moi, j’y suis depuis 2007 c’est pour ça que j’y suis @Alban, j’en suis (petit) actionnaire, et donc tout ce qui touche Twitter me touche un peu;
Je voulais même en devenir CEO avant le retour de @Jack 😉.
Et hier je sais pas pourquoi, Twitter a décidé de me faire un coup de tête balayette.
C’était hier, mais j’en suis encore secoué.
Hier j’ai reçu un email de relance de Twitter (comme en reçoivent des dizaines par semaines les comptes non actifs) adressé à un compte que j’avais créé pour un projet qui ne s’est jamais fait.
D’habitude je n’y prête pas attention, je supprime manuellement quand mes règles Gmail n’ont pas fait le job, mais là le sujet disait « Alban JAMESSE a partagé « Hostels Worldwide – Online Hostel Bookings, Ratings and Reviews »« .
Le seul compte Alban JAMESSE, c’est mon compte @Alban.
Je ne connais pas ce site.

WTF !!
Etant confiant dans Twitter, je me précipite sur mon compte pour voir si l’email dit vrai, car avec mon pseudo, mon compte est régulièrement attaqué (tout comme sur Instagram).
Ouf, mon compte est safe.
Je suis allé voir dans mes archives perso si j’avais un jour, peut être il y a plusieurs années, publié un truc à propos de ce site, mais rien.
Alors là, gros doute.
Après réflexion nocturne, je suis arrivé à 2 solutions :
- Soit il existe une faille chez Twitter (futée soit dit en passant 👍 !), qui permet aux applications que j’ai approuvé de publier, et de supprimer quasi immédiatement, un message publicitaire qui sera quand même pris en compte par les algorithmes de relance de Twitter;
- Soit Twitter dérape dangereusement en publiant des choses, tout en attribuant la publication à d’autre.
Si c’est la première solution, j’applaudis les growthhackers qui ont trouvé le concept.
C’est sale, mais c’est beau !
Si c’est la seconde solution… c’est grave.
J’ai relu les TOS et les RULES, je sais très bien que Twitter a tous les droits sur mes publications, mais je n’ai pas souvenir d’avoir accepté, À AUCUN MOMENT, que Twitter puisse m’attribuer ou me créer des publications !
On est à la limite de l’usurpation d’identité à mes yeux.
On aurait fait quoi si j’avais travaillé chez Booking.com et que ce message aurait été adressé à un membre de l’entreprise ?
Encore plus grave;
On aurait fait quoi si ce message aurait parlé politique et été attribué à un dissident sur la sellette dans un pays où les droits de l’homme seraient inexistants ? Comme le défend le header du compte de Damien Viel le DG de Twitter France.
J’aimerais donc, mais vraiment beaucoup, qu’il y ai une enquête* chez Twitter pour qu’on puisse apporter une réponse à ce dysfonctionnement.
* Je ne touche pas à mes applications autorisées en attendant si les investigations mènent par là-bas.
Edit du 11/12/2019
Rebelotte ce matin.
Je n’ai JAMAIS publié de liens vers Typeform
